Une vie active après la retraite #
Phyllis Webster, 81 ans, a su tirer parti de sa retraite pour vivre des expériences enrichissantes. Ayant enseigné pendant 28 ans, elle a pris sa retraite en 2008 et a immédiatement commencé à voyager avec son mari. Ils ont exploré des destinations comme l’Australie, l’Afrique du Sud et plusieurs pays d’Europe, découvrant de nouvelles cultures à chaque étape.
Elle insiste sur le fait que le tourisme est une part essentielle de sa vie après le travail. Cependant, malgré son emploi du temps chargé, elle trouve encore le temps de s’impliquer dans sa communauté. Selon elle, être actif est non seulement bénéfique pour son bien-être physique, mais cela permet aussi de rester connecté avec les autres.
Le bénévolat comme passion #
Phyllis consacre une grande partie de son temps à des œuvres caritatives, notamment au sein du Grandmothers Advocacy Network. Ce groupe travaille à sensibiliser le gouvernement canadien aux défis auxquels font face les grands-mères et les jeunes en Afrique. Elle ressent une immense satisfaction en aidant ces communautés à obtenir le soutien dont elles ont besoin.
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Elle a également remarqué que le bénévolat lui permet de rencontrer des personnes partageant les mêmes valeurs. Ces interactions enrichissent non seulement sa vie, mais renforcent également son engagement envers les causes qu’elle défend. Dans ses mots :
« Je ne peux pas imaginer quelqu’un s’ennuyer à la retraite. Il y a tant de choses à faire pour soi et pour sa communauté. »
Gérer le temps et les priorités #
Malgré son emploi du temps chargé, Phyllis admet que le temps calme devient de plus en plus rare. Elle jongle entre ses voyages, ses engagements bénévoles et le temps passé avec sa famille, ce qui lui laisse peu de place pour la détente. Elle plaisante même en disant qu’un retour à l’enseignement pourrait lui offrir une routine plus prévisible.
Pour elle, le défi consiste à équilibrer toutes ces activités tout en préservant des moments pour elle-même. Elle se rend compte que prendre du temps pour soi est essentiel pour maintenir son bien-être mental et physique. Dans cette optique, elle prévoit de se remettre à l’espagnol et au français, pour continuer à apprendre et à grandir.
- Voyages en famille dans des destinations variées
- Engagement dans des causes sociales à travers le bénévolat
- Gestion d’un emploi du temps chargé pour éviter l’ennui
- Investissement éthique pour un avenir durable
- Apprentissage continu de nouvelles langues
Phyllis Webster est un exemple inspirant de ce que la retraite peut offrir. Au-delà du repos, elle a choisi de vivre pleinement, en investissant dans sa passion pour le voyage et en contribuant à des causes qui lui tiennent à cœur. Son parcours démontre qu’une retraite active et engagée peut enrichir non seulement sa propre vie, mais aussi celle des autres. En mettant l’accent sur le bénévolat et le voyage, elle prouve qu’il n’y a pas de place pour l’ennui lorsqu’on choisit de vivre intensément chaque moment.
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Super article ! J’aimerais beaucoup être aussi active que Phyllis à sa retraite. Comment fait-elle ?
Je ne comprends pas comment elle gère tout ça. Est-ce que le bénévolat ne prend pas trop de temps ?
Bravo à Phyllis ! C’est inspirant de voir quelqu’un qui ne se laisse pas abattre par l’âge.
Voyager en retraite, c’est bien beau, mais ça doit coûter cher ! Elle a un secret pour économiser ?
Le bénévolat, c’est bien, mais n’est-ce pas un peu trop sérieux ? Un peu de détente, ça ne ferait pas de mal !
Cette femme est incroyable ! J’aimerais savoir comment elle organise son emploi du temps.
Franchement, qui a le temps de voyager ET de faire du bénévolat ? Ça me semble impossible !
Merci pour cet article ! Ça m’encourage à m’investir davantage dans ma communauté !
Phyllis devrait donner des cours sur la gestion du temps. J’en ai besoin !
Est-ce que son mari l’accompagne dans tout ça ? J’imagine que ça doit aider !
Le bénévolat est important, mais je préfère les vacances au soleil. Chacun son truc !
Pourquoi ne parle-t-elle pas plus de ses voyages ? J’aimerais bien des anecdotes !
Le bénévolat, c’est beau, mais je ne peux pas m’empêcher de penser à la fatigue que ça doit engendrer.
Ça fait rêver ! Mais est-ce que Phyllis se sent parfois dépassée par tout ça ?
J’adore l’idée d’apprendre de nouvelles langues en retraite. C’est motivant !
Est-ce que quelqu’un a déjà essayé d’équilibrer voyage et bénévolat ? J’aimerais entendre d’autres témoignages !